À l’ami de jeunesse
Deux poèmes de Maurice Chappaz dédiés à Georges Haldas I. FESTIN Les pigeons dans le soir picorent nos présences Et la mort dans la chambre à deux lits se repose Un instant le bois craque L’été sonne trois heures * Le cercueil nous attend comme une goélette dans le port avant le grand départ. . . .