Seuls les animaux vivent sans utopie
L’un des derniers entretiens avec Max Frisch, en été 1989, par René Zahnd Depuis une dizaine d’années, Frish n’écrivait plus. Pourtant, en 1989, l’initiative dite «Pour une Suisse sans armée» l’avait fait sortir de sa réserve. Il publia alors une pièce de théâtre, Jonas et son vétéran qui eut le don d’attiser le débat. . . .