Ecrivain de la mémoire
Les premières chroniques de Georges Haldas commentées par le (tout) jeune Bruno Pellegrino La mémoire est trop vaste pour que l’on s’y promène au hasard, du moins lorsque l’on a pour projet de la mettre en texte, et donc, d’une manière ou d’une autre, de la structurer. Cette difficulté, . . .