Ian McEwan ou l’intelligence romanesque
Un androïde fort attachant, dans le (superbe) dernier roman de Ian McEwan, «Une machine comme moi», nous confronte aux limites de notre «nature» au fil d’une uchronie passionnante. Sous le contrôle attentif d’un Alan Turing (1904-1956) toujours en vie, les avancées fascinantes de la technologie, au début des années 1980, butent sur le «trop humain» . . .