Concerto baroque
À propos de L’Appel du crapaud de Günter Grass, par François Conod J’habitais Bâle, je devais avoir seize ans, le monde germanique ne parlait que du Tambour. Un nain s’abritait sous les jupes de sa grand-mère glaneuse de patates, il savait chanter-kaputt des vitrines et des bocaux d’embryons, on apprenait l’existence d’un peuple nommé Kachoubes. . . .