Sur la route de nos fugues et déroutes
Grégory Rateau (Extrait d’un long poème) Ça coulisse jusqu’à ta planque aux auréoles d’écume toutes mitées oubliées là au fond du placard entre un trench et de vieilles cravates le cuir tanné par toute cette poisse d’où cette odeur intacte avec comme un arrière-goût du lointain de nos fugues d’autrefois: l’odeur retrouvée de la tourbe . . .