Trois chants pour la nuit qui recule
À propos de trois romans maoris, par Jil Silberstein Sur les rives de notre Occident fatigué où s’accumulent les déchets d’une civilisation malade de son abondance, l’océan roule parfois d’étranges merveilles où nos regards étourdis voient de vulgaires rebuts. Ces épaves, il est vrai, que la vague rudoie avant de les céder au vent, . . .