L’infini du présent oublié
Texte inédit de Jean-Bernard Vuillème J’entends dans ce village des voix de vacanciers. Elles nous parviennent de manière étouffée par les haies de thuyas qui délimitent chaque parcelle dans un carré généreux. Et pendant ce temps, assise à la table en face de moi, je m’en rappellerai, tu peins la haie et un arbre du . . .