Le roman d’un innocent
En (re) lisant Le coup-de-vague de Georges Simenon, par Pascal Ferret Il aurait pu ne rien se passer dans ce trou. On aurait vécu en suivant simplement l’horaire. On aurait fait sa tâche comme une bête de somme. On n’aurait jamais vraiment pensé. On ne se serait jamais vraiment éveillé. On aurait fait . . .