La fresque au coeur de l’asile
À propos d’Asile d’azur de Jean-Marc Lovay, par Jean-Bernard Vuillème On lit dans l’Asile d’azur de Jean-Marc Lovay comme dans la tête d’un patient acharné à peindre une fresque jusqu’au délire contagieux d’une impossible guérison. Il faut y aller paragraphe par paragraphe, reprendre ses esprits et poursuivre. S’accrocher. Rester concentré. Ne pas se . . .