Le ridicule absolu de l’amour
À propos de La dernière année de Dostoïevski, d’Igor Volguine, et des Nouvelles et récits, par JLK Au fond c’était un homme absolument ridicule que Fiodor Mihaïlovitch Dostoïevski, et sans doute est-ce pour cela que nous l’aimons tant, plus encore que nous l’admirons. C’est entendu: nous admirons Tourgueniev et nous admirons plus encore Tolstoï. . . .