Incarner l’ange de Visconti ne conduit pas au paradis…
Cinquante ans après La mort à Venise, un film suédois à valeur de parabole (à voir ces jours sur ARTE) documente, avec la voix et les images d’archives de Björn Andrésen à l’appui, le double drame vécu par «le plus beau garçon du monde», adulé et réduit à une image idéalisée, cliché de l’éphèbe occultant . . .