Cinéma sans scope
À propos des désastres récents du cinéma américain que nous aimons… par Philippe Banquet Parfois les titres ne mentent pas : le brutaliste est brutal, Megalopolis est mégalomane. Les deux sont ratés, mais l’un a des excuses et l’autre pas. J’ajouterais même que ces deux intitulés interagissent : Le dernier cité est une chute brutale, . . .