La Maison des incertitudes
Ou comment habiter le «roman» de Laurent Mauvignier… par JLK Ma lecture des 743 pages de La Maison vide de Laurent Mauvignier s’est achevée hier soir sur l’impression mêlée d’une considération plutôt respectueuse et de certaine perplexité, avec la relance d’un plus vif intérêt marqué par l’épilogue où «tout » est comme resitué, en perspective . . .