Les femmes hors des pénombres
«Les femmes sont prisonnières de leurs corps, de leurs gestes. Elles restent dans leur mutisme, privées de mots davantage que de paroles. Ce sont des silhouettes dont l’ombre se projette sur la page. Je leur prête mots. Je leur porte voix(p.137)». Des destinées de femmes, une lignée familiale. La narratrice, la petite, déroule le fil . . .