Le roman virtuel de JLK
Dans Le viol de l’ange, toute la hideur et la détresse d’un monde décervelé, qui fuse vers l’abîme. Et puis, comme d’un excès du Mal: ces gestes oubliés qui s’esquissent, cette rédemption qui s’amorce. Une lecture de Jil Silberstein, en novembre 1997. C’était des temps terribles et ordinaires. Des temps où rien ne pouvait plus . . .