Annemarie Schwarzenbach ou la puissance de la fragilité
Adios Schéhérazade V, par Alain Dugrand À propos des écrits africains (1941-1942) réunis dans Les Forces de liberté L’œuvre d’Annemarie Schwartzenbach ne sera jamais otage de quiconque. Ses préoccupations, ses pages, ses reportages, ses convictions enfin, sa fragilité même, la préservent en outre de toute suspicion de narcissisme artiste. Cette ombre diaphane . . .